Rachel Gaudreau (mère de la réalisatrice) vit depuis près de vingt ans dans une coopérative d’habitation dans la région de Gatineau. Elle y réside avec une quarantaine de membres qui se partagent les multiples tâches de gestion et d’administration. À partir de cette habitation collective, Ève Lamont dresse le portrait d’un espace de vie où la mixité sociale fait bon ménage avec le métissage culturel et intergénérationnel. La coop de ma mère fait la démonstration sans équivoque que la création de nouveaux logements sociaux et communautaires s’avère le modèle immobilier le mieux adapté pour contrer la crise du logement qui secoue les grandes villes.
Rachel Gaudreau (the director’s mother) has been living in a housing co-op in the Gatineau region for the past 20 years. She is part of a community of about 40 people who share management and administration tasks. From this collective dwelling, Ève Lamont paints the portrait of a living space where social diversity goes hand-in-hand with cultural and intergenerational mixing. La coop de ma mère argues that creating new social and communal housing is the best way to counter the housing crisis that is devastating large cities.
Réalisatrice, camérawoman et cofondatrice de Réalisatrices équitables, Ève Lamont a signé plusieurs documentaires depuis la fin des années 1980. On lui doit notamment les films Méchante job (2001), Squat ! (2002), Pas de pays sans paysans (2005), L’imposture (2010), Le commerce du sexe (2015) et Le chantier des possibles (2016).
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