Adaptation très attendue du célèbre roman de Stéphane Larue qui nous ramène au début des années 2000, à Montréal : Stéphane n’a pas 20 ans, il est étudiant en graphisme et fan de Métal, mais il est surtout accro aux jeux. Sans le sou et sans appartement, il prend un job de plongeur dans un restaurant pour survivre. C’est là qu’il va découvrir la bruyante compagnie de ceux et celles qui font rouler le monde de la restauration. Personnages plus grands que nature, amitiés naissantes et solidarité pour le meilleur et pour le pire, ça se bouscule dans un microcosme effervescent. Une mise en scène audacieuse, un récit poignant, des acteurs et actrices vibrants; on sent le coup de cœur pour le sixième long métrage de Francis Leclerc!
The highly anticipated adaptation of Stéphane Larue’s novel takes us back to early 2000s, in Montreal: Stéphane has not turned 20 yet. He’s studying graphic design, is a heavy metal fan and, most importantly, he loves gaming. With not a dime to his name and no apartment to call home, he washes dishes at a restaurant to survive. That’s where he discovers the loud machine that runs the restaurant industry. Larger-than-life characters, new friendships, and solidarity for better or worst, it all comes together in an effervescent microcosm. A bold production, a poignant tale, and actors that shine: Francis Leclerc’s sixth feature film is an instant favourite!
Cinéaste estimé, Francis Leclerc réalise plusieurs courts métrages et vidéo-clips dans les années 1990. Cette expérience le mène, en 2011, à Trotteur, court-métrage louangé dans plusieurs festivals. Son premier long métrage, Une jeune fille à la fenêtre (2001), est nommé pour le Grand Prix des Amériques au Festival des Films du Monde de Montréal. S’ensuit Mémoires affectives (2004), lauréat de plusieurs Prix Génie et Jutra, puis Un été sans point ni coup sûr (2008). Avec Pieds nus dans l’aube, il adapte le roman autobiographique de son père, Félix Leclerc. Finalement, L’Arracheuse de temps (2021) transpose à l’écran un conte de Fred Pellerin, et Le Plongeur, l’œuvre éponyme de Stéphane Larue. Ce film ouvre la 41e édition des Rendez-vous Québec Cinéma.
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