Brouillard. Poussière. Un vieux salon de quilles en proie d’un orage. Une femme enceinte, un homme d'affaires et un veuf y trouvent refuge. Les boules de quilles zigzaguent les allées jusqu’à ce que d’étranges papillons de nuit provoquent une panne de courant et annoncent l’arrivée de leur reine.
Prendre un pas de recul de ce qui nous entoure, revisiter l'ordinaire pour le rendre extraordinaire à nouveau. Voilà ce qui alimente l’imaginaire de Theodore Drusba. Bachelier en cinéma de l’UQAM, c'est lors d'une session à l'étranger qu'il écrit son premier court-métrage, Dalot (2023), sur un salon de quilles infesté de papillons de nuit.
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